Re: [anoblissement d'Alix et Enguerrand.]Arrivée des invités

Nayria Grimwald Sam 7 Juin - 13:09

Voyage long et laborieux, traversée de la France sans encombre sous son titre de Vice Chancelière en deplacement diplomatique. Apres tout elle etait affectée à l'Anjou, ca la fit sourire comme detailAprès un detour obligatoire par Cévillé qui lui avait fait manquer la cérémonie la brune se presenta au chateau afin de pouvoir feliciter la famille.
Carrosse noir portant le faucon en estampille, Nayria avait laissé derrière elle le fils Capitaine de Gascogne mais avait comme à son habitude emmenée sa fille Yuna.
Descente du coche aide par son conducteur, elle regarde des personnes en attente de l'intendant et fait un grand sourire en reconnaissant une silhouette. Se dirigeant vers Mentaig elle dit

Décidement Votre Excellence c'est a chaque porte de chateau en attente de laisser passer que l'on se rencontre !

Ah et garde, je suis Nayria Grimwald, Dame de Cévillé et bien d'autres choses encore...

Elle sourit au garde avec malice puis se ravisa en reportant ses yeux sombres sur Mentaig de nouveau.

Cheeky Sam 7 Juin - 13:11

**Mentaïg** Sam 7 Juin - 14:36

Le garde tardait. Sans doute était-il retenu ailleurs par d'autres devoirs.
Mentaïg vit la Duchesse de Berry sauter à bas de sa monture, vive et légère, et se fendit d'une révérence, dont elle fut tirée par une voix enjouée.

Dame Nayria ! Ravie de vous retrouver ici ! Votre traversée a-t-elle été confortable ? Je dois dire que la mienne fut acceptable, cette fois.

Puis, avec un geste en direction de la duchesse :

Votre Grasce connaît-elle Dame Nayria ? Nous fréquentons toutes deux assidument les couloirs de l'ambassade du Munster, où nos bureaux sont proches. Dame Nayria, Sa Grasce Ysandre, Xème Duchesse de Berry.

Nayria Grimwald Sam 7 Juin - 15:12

Nayria fit une reverence à l'ambassadrice royale puis ne manqua pas d'en faire une à la duchesse du Berry. Elle se redressa dans un sourire et dit.

Merveilleuse traversée j'adore le bateau, de mes origines celtes surement ! Et je suis aise que la vostre le fut également !
Duchesse vous me voyez ravie de vour rencontrer j'ai entendu grand bien sur votre nom; et le Berry est en bon terme avec notre cher duché, grace a la famille Beaufort-Montjoie notement.

Elle jeta un oeil vers la porte massive, le garde absent, personne à l'horizon, une incursion furtive ou suivre les convenances, dans un haussement d'epaule elle se retourna vers les dames.

(mon lapin je peux pas repondre a des smileys ^^)

**Gilberg** Sam 7 Juin - 16:29

Quelque peu surpris, Gilberg avait reçu une invitation de la jeune demoiselle qu'il avait rencontrée à quelques rares reprises en Berry, à l'époque où elle y était ambassadrice. Il était tombé sous son charme, et il semblait qu'elle non plus ne l'avait pas oublié. Ravi de pouvoir quitter les bureaux poussiéreux de l'Université où il avait quelque tendance à s'empâter, surtout pour une si ravissante circonstance, il se mit en route, accompagné d'une petite escorte, vers le domaine où se dérouleraient les festivités.

La troupe approcha au petit trop devant l'entrée du domaine, où nombre d'invités se pressait. Reconnaissant parmi eux quelqes Berrichons, il s'en approcha, tout en chargeant l'un de ses gens d'armes d'aller prévenir qui de droit de l'arrivée du vicomte de Bretagne.
Mettant pied à terre, il s'approcha de la dame de Baugy afin de la saluer, tout en observant du coin de l'œil la duchesse de Berry annoncer son arrivée.

Valatar Cornedrue Sam 7 Juin - 20:07

Anicet, Anicet! Qu'est ce que je vais faire de vous!

C'est sur ces mots que commencèrent les ennuis de Valatar. Son vieux - mais non moins attachant - valet, Anicet, n'arrivait à se démêler de ses tenues. En effet, le pauvre homme venait d'être surpris par son maître habillé comme un... maître. Le Vicomte avait retenu son rire en se mordant la lèvre inférieure, puis lui avait immanquablement demandé de s'expliquer. Le vieil homme avait dû avouer qu'il avait emprunté les vêtements de son maître pour séduire Matheline, la dame de compagnie de Maryan, mais que, plus habitué à ranger et faire laver les beaux habits qu'à les porter, il n'arrivait pas à les enlever. C'est là que Valatar eut cette phrase, dont l'effet fut de consterner encore un peu plus le pauvre homme sur son triste sort.

Monsieur auroit-il la gentillesse et l'infinie amabilité de m'aider à me défaire de cet improbable accoutrement qui me va sans doute aussi bien que lui iroit la livrée?

Eh bien Anicet, n'est-ce pas là le monde à l'envers? Commençons de cette façon, et demain, on vous laissera choisir le duc! Vous verrez, Anicet, tout cela finira mal... Si je vous aide maintenant, demain, on nous supprimera nos privilèges... Cela dit, je vous rappelle, cher Anicet, que nous avons une cérémonie en Anjou sous peu, qu'elle est organisée par des amis qui me sont chers, et que je dois y être à l'heure. Vous souvient-il que nous devions aussi être en avance pour passer à Baugy chercher madame ma cousine?

Monsieur, croyez bien que je n'oublye rien de tout cela, et que c'est précysément ce qui me trouble. Monseigneur, je crains qu'il n'y ait pas de solution. Je ne puys conduyre Monseigneur en portant cet accoutrement, et je ne puys l'oster seul. Si Monseigneur ne m'aide point, je ne pourrai vous conduyre.

Ah! Voilà bien votre chance, Anicet, d'avoir un maître tel que moi. J'en connais certains qui vous auraient battu pour bien moins que cela!

Et voilà que le maître se mit à aider son valet à se défaire des vêtements de luxe qu'il portait. Le souci etait que Valatar était fait pour aider son valet comme Anicet l'était pour porter ces vêtements. Les deux hommes avaient beau s'agiter dans tous les sens, rien n'y faisait, les bracelets trop serrés ne s'enlevaient pas, et la tunique de velours rouge à fils d'or restait coincée en dedans. Plus d'une heure plus tard, Valatar finit par ordonner à son valet de se rendre avec lui en Anjou, quels que soient les habits qu'il portaient. Ils montèrent en coche, et se rendirent à Baugy, où on les informa que Dame Mentaïg était déjà partie depuis plusieurs heures, ne voyant pas son cousin venir. Quand, enfin, ils arrivèrent, très en retard, au domaine des Beaufort-Montjoie, le personnel de maison ne comprenait pas bien lequel des deux était le maître. Anicet déclara, assez fort pour être entendu, mais sans que l'on sache vraiment s'il parlait de lui ou de celui qui l'accompagnait

Oyez l'entrée de Monseigneur Valatar Cornedrue, Vicomte de Culan.

**Mentaïg** Sam 7 Juin - 20:32

Les équipages arrivaient toujours, sans que l'on vit l'ombre d'un valet, d'un huissier, d'un intendant... Tout le Berry semblait s'être donné rendez-vous au domaine des Beaufort-Montjoie. Il est vrai que la famille de Mononoke et Joffrey avait en Berry de fort nombreuses attaches. Laissant Dame Nayria converser avec la Duchesse, Mentaïg se tourna vers un nouvel arrivant.

Messire Recteur, bonjour ! Vous avez donc délaissé votre chère Université pour quelques heures ? Ne craignez-vous point que ...
Oooohhhh !!!!!

Les lèvres de Mentaïg venait de s'arrondir en un O parfait, à l'image de ses yeux. Elle mit quelques longues secondes à se recomposer un visage. Il faut bien avouer à sa décharge que le spectacle qui s'offrait à elle avait de quoi surprendre !

Aurais-je la berlue ?

Elle ferma les yeux un instant - et la bouche par la même occasion, avant qu'on ne la prenne définitivement pour un thon, une morue, ou tout autre poisson - et les rouvrit pour constater que le spectacle n'avait pas changé. Le vieil Anicet, valet de son cousin Valatar, se pavanait bel et bien dans une superbe tunique de velours rouge brodé d'or. "Se pavaner" était d'ailleurs une expression mal choisie. Le pauvre Anicet semblait fort mal à l'aise dans sa pourpre, et sa voix tremblait un peu quand il lança son légendaire "Oyez l'entrée". Quant à Valatar, l'amusement se mêlait sur ses traits à un certain agacement.

Eh bien, mon cousin ? Me direz-vous la tâche si urgente qui vous a retenu, au point de m'oublier en mon manoir ?

**L'Intendant** Sam 7 Juin - 21:37

bertrame tout déconfit arriva au galop ...entre la lice , le campement et la fête , il perdait la tête

messire 000Mes dames ..on vous accompagne vers .les salles de reception...

lambertine Sam 7 Juin - 21:48

Lambertine arriva dans le domaine des Beaufort-Montjoie afin d'assister à l'annoblissement d'Alix et d'Enguerrand. Cela faisait si longtemps qu'il avait vu naître les jumeaux! Une belle journée, où il avait retrouvé son amie Jo souffrant de contractions dans une brouette qui la conduisait de Sérénite au Moulin du Bois-Joli. Mais il n'était pas là pour repenser à ses vieux souvenirs, bien qu'il ne put s'empêcher de sourire en voyant la Baronne de Segré arracher la main de son époux Mononoke...

Il s'approcha de Bertrame, et, le saluant, lui demanda quel était le chemin qu'il fallait suivre afin d'assister à l'annoblissement des jumeaux.

**cricri de lazenay** Dim 8 Juin - 0:01

Un pigeon arriva sur le domaine des Beaufort-Monjoie en provenance du Domaine de Lazenay de Soires.
Fatigué de ce long voyage il lacha son message

chère Alix et cher Enguerrand

Nous
avons bien reçu l'invitation de vos parents pour cette cérémonie
importante pour vous mais nous ne pourrons pas être des vôtres.
Ma grossesse arrivant à terme et ressentant des douleurs depuis hier il n'était pas prudent pour moi de prendre la route.
Nous vous présentons toutes nos félicitations, que cette journée soit des plus belles pour vous.
Nous sommes de tout coeur et par la pensée avec de vous.
Je vous embrasse
Cricri de Lazenay de Soires
Morillon de St Benoit du Sault

Lina Lun 15 Sep - 2:00

A l'arrivée au domaine des Beaufort-Montjoie, la jument de Lina est en sueur, l'écume aux naseaux tant la jeune femme l'a sollicitée... Elle est en retard, très en retard...
Jeanpolc l'a conviée à sa cérémonie d'ennoblissement. comment a-t-ellepu prendre tant de retard ?

Ses deux besaces accrochées au troussequin de sa selle lui battent les jambes. Son dos la rudoie. Ses épaules s'engourdissent. Poussiéreuse, pas habillée du tout pour l'occasion, elle fait irruption dals la cour, saute de la haquenée dans un dernier sursaut de force et attrape ses besaces... Il lui faut un point d'eau... de quoi se laver...

La tenue en bataille, elle s'apprête à se diriger vers le corps du logis quand un homme lui fait barrage... ça doit être l'intendant dont on lui a parlé.

Ah oui... montrer patte blanche... bin ça va pas être facile dans l'état où elle se trouve...

"Lina, Damoiselle du Lion d'Angers, trois charrettes de retard pour assister à l'ennoblissement de Messire Jeanpolc... Vous auriez un baquet pour que je fasse quelques ablutions et que je passe vesture plus appropriée... ?"

Lina jette un oeil sur le regard empli de stupéfacion de l'intendant.
Elle ôte son chapeau qui retient sa chevelure et laisse tomber une ribambelle de tresses enrubannées.

"Oui, je suis une damoiselle mais bon, pour les chevauchées, les braies, c'est plus pratique, non ?"

Son rire résonne dans la cour...

"Allez soyez gentil, dites-moi où je peux trouver un baquet ... ?"

Lina Mar 16 Sep - 16:52

"Vous ne voulez pas ? brisons là et poussez-vous. Je vois les écuries, je vais me débrouiller toute seule. Allez..."

Lina prend sa haquenée par la bride et se dirige vers les écuries.

"Charmant accueil" se dit-elle...

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